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DROIT du TRAVAIL

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DROIT du TRAVAIL

   
29-05-2013 Le médecin du travail n’a pas à reclasser le salarié déclaré inapte
Il incombe à l'employeur et non au médecin du travail, de justifier du respect de l'obligation de reclassement.
Dans cette a ffaire, Mme X... a été engagée en 1990 en qualité de secrétaire et promue responsable d'administration des ventes par son employeur. Mme X a été en arrêt de travail à compter du mois de juin 2005. Elle a, par la suite, été déclarée par le médecin du travail inapte à tous postes dans l'entreprise mais apte au même poste dans une autre structure.
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27-05-2013 L’obligation de reclassement en cas d’inaptitude médicale à tout poste dans l’entreprise
Blog d'un inspecteur du travail En matière d’aptitude médicale, « le deus ex machina » c’est le médecin du travail !  Sur ces questions, l’inspecteur du travail n’est, au mieux, qu’un grain de sable. Au pire, il se contente de jouer les potiches. Coincé entre le médecin du travail et le médecin-inspecteur – qui marquent à eux deux l’omnipotence du corps médical – lorsqu’il est amené à se prononcer sur les recours dont font l’objet les avis médicaux ou encore réduit à exercer un contrôle purement formel sur la procédure en cas de demande d’autorisation de licenciement, l’inspecteur du travail a du mal à trouver sa place. Alors oui, je maintiens et j’assume, une potiche dans la plupart des cas ! Sauf circonstances très spécifiques nécessitant un réel arbitrage juridique.
http://inspectiondutravail.wordpress.com/tag/medecin-du-travail/
16-05-2013 Rupture conventionnelle et détournement de procédure :
Créée par la loi du 25 juin 2008 la rupture conventionnelle, nouveau mode légal de rupture amiable du contrat de travail, poursuit son ascension.
Négociée par les partenaires sociaux, cette rupture était initialement destinée à garantir au salarié un minimum de protection juridique et financière en cas de rupture de son contrat de travail
Des contentieux se sont développés autour de la notion de détournement de procédure : l’utilisation de la rupture conventionnelle pour contourner la législation en matière d’inaptitude, d’accident du travail, absence de consentement libre et éclairé du salarié.
http://www.village-justice.com/articles/annulation-rupture-conventionnelle,14447.html
13.05.2013 Invalidité partielle permanente suite à maladie professionnelle : allocation temporaire d'invalidité (Ati)
Le fonctionnaire en activité devenu partiellement invalide à la suite d'un accident de travail ou d'une maladie professionnelle peut bénéficier, sous certaines conditions, de l'allocation temporaire d'invalidité (Ati) cumulable avec son traitement.
http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F31458.xhtml
   
13-05-2013 La visite de reprise à l’initiative du salarié non signalée à l’employeur est inopposable à ce dernier.
Juritravail : droit du travail, code du travail, convention collective et lettres types Le 12 décembre 2012, l'arrêt n° 11-30312 de la cour de cassation sociale a infirmé une décision de la cour d'appel de Paris du 17 mars 2011, confirmant ainsi que toute visite de reprise demandée par le salarié doit être signalée à l'employeur, faute de quoi celui-ci n'est pas tenu aux obligations consécutives à la visite de reprise en cas d'inaptitude reconnue par le médecin du travail (reclassement ou licenciement ou reprise du paiement des salaires).
  http://www.juritravail.com/Actualite/Visite-medicale/Id/65641
   
29-04-2013 heures supplémentaires litigieuses en contrat d'apprentissage
Les apprentis de l'un ou de l'autre sexe âgés de moins de dix-huit ans ne peuvent être employés à un travail effectif excédant huit heures par jour, ni plus de 4 h 30 consécutives (au terme desquelles l'apprenti doit bénéficier d'une pause de 30 minutes consécutives), non plus que la durée fixée, pour une semaine, à savoir 35 heures. Toutefois, à titre exceptionnel, des dérogations peuvent être accordées, dans la limite de cinq heures par semaine, par l'inspecteur du travail, après avis conforme du médecin du travail de l'établissement. En outre, 2 jours de repos consécutifs doivent lui être accordés.
Si l'apprenti a plus de 18 ans, les règles applicables sont celles applicables à l'ensemble des salariés de l'entreprise.
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13-02-2013 Pas de licenciement pour inaptitude lorsqu’elle est consécutive à un harcèlement moral
En l’espèce, une salariée placée en arrêt de travail pour maladie a fait l’objet d’un changement de service sur avis du médecin du travail, pour une période probatoire. La salariée a avisé la société qu’elle entendait mettre fin à la période probatoire d’un mois en raison des difficultés d’adaptation rencontrées dans son nouveau poste. Elle a finalement été licenciée pour inaptitude. La salariée saisit alors la juridiction prud’homale pour que soit reconnue la nullité de son licenciement du fait du harcèlement moral subi au travail.
http://www.istnf.fr/site/Themes/detail.php?fiche=7991&Titrecat=Newsletter%20-%20Archive
   
19-04-2013 Même assorti de réserves, un avis d'aptitude ouvre droit à réintégration dans le précédent emploi
Juritravail : droit du travail, code du travail, convention collective et lettres types L'employeur ne peut pas de lui-même considérer que l'avis d'aptitude délivré par le médecin du travail, même assorti d'importantes réserves, s'analyse en un avis d'inaptitude l'autorisant à envisager le reclassement sur un poste différent. C'est pourtant ce qui s'était produit dans une affaire jugée le 6 février 2013 par la cour de cassation
http://www.juritravail.com/Actualite/etre-en-conformite/Id/60511
12-12-2012 Inaptitude – Visite de reprise à l'initiative du salarié - L'Employeur doit être prévenu
lorsque le salarié a repris le travail, après son arrêt maladie, il revient à l’employeur de prendre l’initiative de la convocation du salarié à la visite de reprise, puisque seule celle-ci met fin à la suspension du contrat de travail. MAIS à défaut de convocation par l'employeur, le salarié peut solliciter cette visite (de reprise), à charge seulement pour lui d'aviser l'employeur de sa démarche, susceptible de mettre fin à la suspension de son contrat.
EN REVANCHE, pendant la suspension de son contrat, le salarié détient la possibilité de provoquer une visite médicale auprès du médecin de travail.
http://www.istnf.fr/site/Themes/detail.php?fiche=7860
   
04-01-2013 LETTRE-RÉSEAU Affections psychiques entraînant une IP prévisible  > ou = 25 %
Cette lettre-réseau diffuse, auprès des médecins conseils, les recommandations d'un groupe de travail de la commission des pathologies professionnelles du COCT, destinées à les aider à faire le diagnostic des affections psychiques graves entraînant une incapacité permanente prévisible égale ou supérieure à 25 % et autorisant ainsi la saisine du CRRMP au titre de l'article L. 461-1-4e alinéa.
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26-03-2013 Santé et sécurité au travail : les derniers arrêts de la Cour de Cassation

Quand on entreprend, on ne rigole pas avec la législation, surtout si elle concerne la santé et la sécurité de ses collaborateurs. Voilà les derniers arrêts de la Cour de Cassation en la matière. jurisprudence
les derniers arrêts de la Cour de Cassation
L’article L. 4121-1 du Code du travail exprime le devoir de l’employeur en matière de préservation de la santé des salariés : en analysant ce devoir comme une obligation de résultat, la Cour de cassation met la préservation de la santé des salariés au rang des devoirs primordiaux de l’employeur.
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12-02-2013 Un entretien de « retour d’absence » déguisé : caractérisation d’une discrimination indirecte en raison de l’état de santé
Cass. soc. n° 11-27.689 du 12 février 2013
L’article L.1132-1 du Code du travail vise les discriminations directes et indirectes. Constitue une discrimination directe le fait pour l’employeur de prendre une décision basée directement sur un motif discriminatoire tel que l’âge, le sexe ou encore l’état de santé du salarié concerné. Une discrimination indirecte est, quant à elle, constituée lorsqu’un l’employeur a recours à une pratique neutre en apparence, mais susceptible d’entraîner un désavantage particulier pour des personnes par rapport à d’autres. C’est notamment le cas de l’utilisation d’entretiens « retour d’absence » suite à un arrêt de travail pour accident ou maladie professionnelle qui se transformeraient en conseil disciplinaire.
  http://www.istnf.fr/site/Themes/detail.php?fiche=7924&Titrecat=Newsletter%20-%20Archive 
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