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REVUE DE PRESSE INFORMATIQUE


DROIT du TRAVAIL

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DROIT du TRAVAIL

   
Arrêté du 17 janvier 2013 modifiant l'arrêté du 6 mai 2000 fixant les conditions d'aptitude médicale des sapeurs-pompiers professionnels et volontaires et les conditions d'exercice de la médecine professionnelle et préventive au sein des services départementaux d'incendie et de secours
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23-01-2013 Médecine de Prévention au Ministère de la Défense : arrêté du 23 janvier 2013 (JO du 23 février)
Ce texte est intéressant en ce qu’il montre le rapprochement qui s’est progressivement opéré au cours des dernières années entre Médecine du travail et Médecine de prévention : qu’il s’agisse de surveillance médicale, d’aptitude ou d’action sur le milieu de travail (avec recours à la pluridisciplinarité), le rôle dévolu aux Médecins de prévention (dans le suivi du personnel civil) est désormais tout à fait comparable à celui des Médecins du travail.
  http://www.ephygie.com/medecine-de-prevention-au-ministere-de-la-defense-arrete-du-23-janvier-2013-jo-du-23-fevrier/
   
18-02-2013 Le ministère incite les employeurs à la prudence et leur recommande d'attendre l'expiration de ce délai de 2 mois avant d'engager la procédure de licenciement.
Dans une réponse publiée fin janvier 2013, le ministère incite les employeurs à la prudence et leur recommande d'attendre l'expiration de ce délai de 2 mois avant d'engager la procédure de licenciement. Il rappelle que, même dans le cas où l'inspecteur du travail est saisi d'une contestation relative à l'avis d'inaptitude physique, l'employeur peut prononcer le licenciement sans attendre de connaître la décision de l'inspecteur du travail (Cass. Soc., 28 janvier 2004, n°01-46.913). Mais l'annulation de l'avis d'inaptitude rendu par le médecin privera nécessairement de cause réelle et sérieuse ce licenciement et ouvrira droit, pour le salarié, à une indemnité au moins égale à 6 mois de salaire (Cass. soc., 8 avril 2004, n°01-45.693).
http://www.juritravail.com/Actualite/licenciement-inaptitude-employeur/Id/46071
   
01-2013 Licenciement et maternité.
 Aucun employeur ne peut rompre le contrat de travail d’une salariée lorsqu’elle est en état de grossesse médicalement constaté et pendant l’intégralité des périodes de suspension du contrat de travail auxquelles elle a droit, qu’elle use ou non de ce droit ainsi que pendant les quatre semaines qui suivent l’expiration de ces périodes (art. L. 1225-4 du Code du travail).
Ainsi, la salariée enceinte bénéficie d’un statut protecteur qui implique que durant sa grossesse, et pendant les quatre semaines qui suivent son retour de congé de maternité, celle-ci bénéfice d’une protection quasi totale contre un éventuel licenciement.
http://www.village-justice.com/articles/licenciement-maternite,13699.html
   
24-01-2013 Discrimination professionnelle des malades : que dit la loi ?
Selon le dernier baromètre sur les discriminations au travail, publié mi-janvier 2013, par le Défenseur des droits, les conditions de santé des salariés sont encore largement source de pressions professionnelles. Parmi les personnes déclarant avoir été victimes de discrimination, 12% estiment en effet que celle-ci était relative à leur état de santé. Une maladie chronique non invalidante chez un collègue reste "source de malaise" pour une proportion analogue d'employés. Comment ces situations sont-elles abordées par la législation française ?
http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-discrimination-professionnelle-des-malades-que-dit-la-loi--9340.asp?1=1
   
18-01-2013 Des dernières évolutions en matière de faute inexcusable
Le salarié victime d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle est indemnisé forfaitairement des préjudices qui en découlent. Cette réparation limitée constitue la contrepartie à un système d’indemnisation automatique, dans lequel le salarié n’a pas à prouver la faute de son employeur et est assuré d’être indemnisé, le cas échéant, par une CPAM qui est par définition solvable. Toutefois, l’article L. 452-1 du Code de la Sécurité sociale prévoit qu’un salarié peut obtenir une indemnisation complémentaire, lorsque l’accident ou de la maladie professionnelle dont il pâtit, est la conséquence de la faute inexcusable de son employeur,
  http://www.echos-judiciaires.com/chroniques-du-barreau/des-dernieres-evolutions-en-matiere-de-faute-inexcusable-a9512.html
   
18-01-2013 Etude simplifiée de l'inaptitude professionnelle
L’inaptitude professionnelle consiste en l’impossibilité médicale pour le salarié d’exécuter tout ou partie des tâches relevant du poste occupé avant l’arrêt de travail ou encore tout emploi dans l’entreprise suite à une maladie ou un accident ou son âge.
Elle se distingue de l’incapacité et de l’invalidité professionnelle.
http://www.social.jurispilote.fr/2013/01/etude-simplifiee-de-linaptitude.html
   
31-12-2012 Arrêté du 31 décembre 2012 portant agrément des experts auxquels le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail peut faire appel

Cet arrêté fournit une liste d'experts, avec leur domaine de compétences, agréés pour les CHS-CT pour une période de 5 ans.
Il complète donc la liste des experts agréés au 1er janvier 2012 figurant dans le document joint publié par l'Inrs.
liste de diffusion de jacques.darmon@club-internet.fr
http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf/common/jo_pdf.jsp?numJO=0&dateJO=20130109&numTexte=26&pageDebut=00726&pageFin=00726
La Liste des experts CHS-CT agréés au 01-01-2012 sur le site de l'INRS
http://www.inrs.fr/accueil/dms/inrs/PDF/chsct-expert.pdf
   
4 Octo 2012 Circulaires CNAMTS concernant les modifications des tableaux de Maladies Professionnelles :
MP 15 amines Aromatiques  suivre ce lien      
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10-2012 Accident du travail : responsabilité de l’entreprise en cas de non-conformité des machines
En cas d’accident du travail, une entreprise ne peut s’exonérer de sa responsabilité du fait que les autorités administratives n’ont pas relevé de déficiences des machines pourtant non conformes. Mots clés de l'article : Prévention des risques Ce qu’il s’est passé
Le 16 janvier 2003, M. X… intérimaire mis à la disposition de la Sarl Usibois du Doubs le 9 janvier précédent par une société de travail temporaire, a été blessé au bras alors que, chargé de recueillir les planches provenant d'un trieur afin de les mettre en palettes, il est monté sur une des tables de réception de la machine, restée en mouvement, pour désengager une planche restée immobilisée.
La victime dépose plainte et se constitue partie civile contre la société Usibois du Doubs pour blessures involontaires par suite de la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence, consistant en l'espèce à avoir laissé en fonctionnement une machine non conforme aux règles de sécurité, à avoir omis d'informer la société de travail temporaire des risques attachés au poste à pourvoir et à ne pas avoir dispensé au salarié concerné une formation à la sécurité renforcée.
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