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24/01/2023 |
La réforme globale des retraites : Le projet de loi |
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Un relèvement progressif de l'âge de départ en retraite à compter du 1er
septembre 2023
Pénibilité et index sur l'emploi des seniors
Hausse de la pension minimale
Fin de carrière et situation des parents et aidants
Les futures règles pour les fonctionnaires
La fin des régimes spéciaux |
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23/01/2023 |
Carrières longues, index seniors, petites retraites…
l’exécutif détaille sa réforme des retraites en Conseil des ministres |
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Sur la prise en compte de la pénibilité
Pour les carrières longues
Sur l’employabilité des séniors
Sur les petites retraites
50 000 salariés impactés par la réforme dès 2023
Les femmes davantage concernées par l’allongement des carrières
Une réforme plus redistributive pour les pensionnés les plus modestes |
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20/01/2023 |
« Ce n’est pas notre mission de décider qui a droit à une
retraite anticipée ou pas » |
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LE QUOTIDIEN : Pourquoi considérez-vous que la future
visite médicale obligatoire à 61 ans est un « détournement des missions » des
professionnels de santé au travail ?
Dr ISABELLE LEGRAS : Nous avons découvert cette visite
médicale dans le dossier de presse du gouvernement, mais nous n'avons pas été
consultés ! Nous ne savons pas pourquoi cette visite a été instaurée. La seule
chose que l’on sait, c’est qu’il y aura une visite médicale obligatoire pour les
salariés qui répondent aux critères de pénibilité décrétés par la réforme. Mais
ceux-ci sont restrictifs en termes de durée et de niveau d’exposition. D’autre
part, un certain nombre de critères de pénibilité ne sont pas pris en compte par
la réforme. Un certain nombre de salariés et de métiers ne rentreront donc pas
dans le cadre de cette visite. |
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27/01/2023 |
Quel suivi médical pour la santé des intérimaires ? |
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Les intérimaires restent davantage touchés par les accidents du travail que les
autres catégories de travailleurs. Surtout dans le BTP, premier secteur
employeur d'intérimaires : ils sont deux fois plus exposés aux risques
d'accident grave et mortel que les salariés des autres secteurs, selon
l'Assurance maladie. La forte sinistralité de cette population a donc conduit le
législateur à envisager de nouvelles modalités de leur suivi (lire l'encadré).
Autre nouveauté de la loi Santé au travail du 2 août 2021 : désormais
l'entreprise utilisatrice qui dispose de son propre service de prévention en
santé au travail (SPST) peut suivre les intérimaires, dans le cadre d'une
convention conclue avec l'entreprise de travail temporaire. Avantage : le
service autonome de l'entreprise connaît bien les risques spécifiques liés aux
activités menées. |
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19/01/2023 |
Problème d'accès à la prévention en santé au travail INTERIM |
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M. Sebastien Pla souhaite rappeler l'attention de M. le ministre du travail, du
plein emploi et de l'insertion sur la question n°27279 du 17/03/2022 par
laquelle il l'alerte sur les difficultés rencontrées par les employeurs et les
salariés du secteur de l'intérim pour l'instruction de leur dossier préalable au
détachement par les services de prévention et de santé au travail.
Il souligne que malgré les dispositions récentes introduites par la loi du 2
août 2021 pour renforcer la prévention en santé au travail, les salariés
intérimaires peinent à obtenir dans les délais nécessaires un rendez-vous pour
une visite médicale. |
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19/01/2023 |
Conditions de travail et mixité : quelles différences entre
professions, et entre femmes et hommes ? |
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Ainsi, les hommes sont davantage présents dans les métiers les plus soumis à la
pénibilité physique, mais ils y sont aussi plus confrontés que les femmes dans
de très nombreux métiers. Les femmes exercent plus souvent des métiers de
service, exposant à des contraintes d’organisation du temps de travail, à des
exigences émotionnelles et/ou une faible latitude décisionnelle. Mais dans les
métiers mixtes et dans les métiers à prédominance féminine ou masculine les plus
exposés à tout type de risque, les femmes sont aussi plus confrontées que les
hommes aux conflits de valeurs et à un manque d’autonomie et, à durée de travail
identique, à un travail intense et à un manque de soutien et de reconnaissance. |
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08/01/2023 |
Table ronde - Santé des femmes et travail : une approche
historique et sociologique |
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Alors que les accidents du travail ont baissé de 27 % chez les hommes entre 2001
et 2019, ils ont augmenté de 42 % chez les femmes, sur la même période, selon
une étude de l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact).
Les politiques de prévention sont moins développées dans les secteurs
majoritairement occupés par des femmes. Or, aujourd'hui, le risque d'accident du
travail est le même pour le secteur des services à la personne que dans le BTP,
où l'on retrouve par ailleurs de nombreuses femmes désormais. Ces dernières sont
également deux fois plus exposées aux risques de troubles musculo-squelettiques
(TMS) que les hommes. Or on considère plus facilement la pénibilité liée à la
manutention de charges lourdes, par exemple, que celle liée aux gestes
répétitifs.
Enfin, une étude de l'Inserm a montré une augmentation de 26 % du cancer du sein
en cas de travail de nuit. Les cancers d'origine professionnelle sont souvent
sous-évalués chez les femmes. |
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01/2023 |
Télétravail des femmes : des
effets ambigus sur la santé et l'égalité |
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Depuis la crise sanitaire, une nouvelle forme d’organisation du travail basée
sur la flexibilité spatiotemporelle se développe en entreprise. Des enquêtes
avaient déjà pointé, pendant la pandémie, que le télétravail et les confinements
avaient été particulièrement difficiles à vivre pour les femmes, du fait de leur
double journée de travail. Bien qu’elles soient demandeuses de télétravail,
cette modalité pourrait avoir à terme pour elles des effets ambigus, voire
régressifs. Si elle leur permet en apparence de mieux concilier leur vie
professionnelle et familiale, elle peut aussi venir fragiliser leur position
face au travail et à l’entreprise, et retarder encore la promotion de l’égalité
hommesfemmes au travail. Le renforcement des rôles genrés dans le foyer pourrait
aussi en découler. Quelques points de vigilance à garder en tête pour les
entreprises et pour les femmes elles-mêmes.
signalé par istnf |
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18/01/2023 |
Des salariés vieillissants à bout de souffle ? |
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Après 60 ans, la moitié des ouvriers et des employés doutent que leur état de
santé leur permette, à horizon de deux années, de poursuivre leur travail
actuel. C’est là un des tout premiers résultats d’une étude en cours – auxquels
notre magazine a eu accès –, fondée sur des données de l’observatoire Evrest
(lire Repère ci-dessous), dispositif de veille et de recherche en santé au
travail. L’étude porte plus précisément sur une question introduite début 2022
dans le questionnaire rempli par les salariés dans le cadre de l’observatoire :
« Pensez-vous que dans deux ans votre état de santé vous permettrait d’effectuer
votre travail actuel ? » |
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